samedi 25 août 2007

blowing in the wind


Les vacances, son temps un peu trop long, une angine, de la pluie, toujours de la pluie, des films, plein de films, de l'alcool (pour le principe).
De la pluie dans la nuit, un voyage.
De la musique sur mon piano, des grognements dans une poitrine.
Parfois, on mord dans de l'absinthe sans s'en rendre compte.
C'est chaud, et doux.

Des ouvertures, des claques.

Des doutes aussi. L'angoisse de la solitude qui n'est pas encore venue. Des lettres qui s'accumulent et moi qui ne veut pas les lire.

Une langue, ça s'apprivoise, ça se caresse. Et si je n'étais pas là au rendez-vous?

In one month, I leave to Birmingham.






Heureusement, il reste les miettes dans la cuisine pour me rappeler qu'un mois, c'est autant de temps pour passer l'éponge.







2 commentaires:

Anonyme a dit…

Un article boulversant qui nous plonge dans une quête tortueuse, celle du sens de notre existence, malmenée par le temps qui s'écoule malgré nous et qui nous désarçonne.

Anonyme a dit…

une mouche, c'est beau, mais la capter, comme ça au travers d'un objectif, c'est mieux.