Elles restent étrangement malgré leur fin annoncée.
Affublé de mon regard débile, je continue encore de m'émerveiller du crépuscule, de ces entrelacements, de ces enlassements qui vivent tant dans les mares que posés sur le ciel.
J'écoute India Song, cigarette à la main.
J'aime Jeanne Moreau.
J'aime Duras,
et m'enfermer dans les portraits de ses personnages qu'on ne saisi jamais parfaitement.
C'est un peu une époque que je n'ai jamais vue qui s'hérisse à mon contact. Une époque morte qui ne veut plus que se reposeret qui m'évite pour me laisser quelques placides et lointaines visions d'elle,
des verres, des saveurs
des alcools couleurs d'ambre.
On s'enfonce trop vite dans la nostalgie d'une époque qu'on n'a pas connu. Alors on s'étire vers la réalité et on cesse de se prendre pour Dietrich...
...mais en gardant son verre à la main.
1 commentaire:
T'aies géniale, changes pas
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